Pour le Docteur Devi Nambudripad,
inventeur de la méthode NAET et instigatrice d’un groupe de chercheurs en relation avec certaines Universités américaines, «tout déséquilibre d’énergie causé par la rencontre de deux ou plusieurs énergies contradictoires est alors susceptible de créer un blocage énergétique dans les méridiens d’acupuncture», voies de l’énergie vitale de l’homme et de nombreux êtres vivants, dont l’équilibre du flux est recherché en acupuncture pour retrouver un meilleur état de santé
Ces blocages d’énergie sont systématiquement considérés comme synonyme d’Allergie dans le cadre de la méthode NAET. Un individu peut donc être allergique à toute substance externe (aliments, pollens, poils d’animaux…) ou interne, y compris ses propres organes et tissus. Pour le Docteur Nambudripad’s, cette Allergie est dictée par le cerveau suivant la perception qu’il se fait de la substance en cause.
S’il l’interprète comme une menace pour l’organisme, l’équilibre dans les méridiens est rompu. Or le plus souvent, le cerveau envoie une réponse inadéquate car la perception est erronée.
Ces dérèglements proviennent essentiellement, pour le Docteur Nambudripad, de deux causes principales :
Premier grand facteur : les altérations et mutations cellulaires installées au fil des générations
Deuxième grand facteur : un environnement en évolution constante et de plus en plus rapide (chimie, climat, alimentation industrielle, technologie…) auquel l’organisme humain a de plus en plus de difficulté à s’adapter c’est pourquoi les allergies ont si peu de rapport avec les propriétés intrinsèques des substances qui les provoquent et que des substances extrêmement allergisantes pour certains sont inoffensives voire nécessaires pour d’autres, par exemple certains nutriments ou aliments.
De cette théorie, le Docteur Nambudripad a déduit qu’il fallait envoyer une information au cerveau afin qu’il rectifie sa perception erronée. Elle découvrit une voie d’accès : la stimulation des racines du système nerveux sympathique et de certains points d’acupuncture, qui permet au cerveau de retraiter l’information inadaptée à la façon d’un reset informatique.
La personne aura quelques règles à respecter durant quelques heures pour intégrer totalement l’information. Cette « reprogrammation » constitue le cœur de la méthode NAET. Depuis près de trente ans, cette théorie a été validé par des milliers de témoignages dans le monde attestant de résultats concrets sur leur état de santé.
NAET en pratique :
Méthode indolore, les points d’acupuncture sont stimulés indifféremment selon la formation initiale du praticien par aiguilles d’acupuncture ou accupression (pression avec les doigts ou avec un appareil), le résultat étant identique.
La mise en évidence des substances perturbatrices est effectuée grâce à une technique kinésiologique qui s’adresse à la globalité de la personne puisqu’elle permet de définir le niveau auquel elle réagit : la perception erronée de la substance est d’origine traumatique, physiologique ou émotionnelle, avec parfois une combinaison de ces critères. La correction est adaptée selon le niveau en cause. Lors d’une même séance, une ou plusieurs corrections énergétiques peuvent être pratiquées selon le cas et les règles de l’art de la méthode qui fait appel à un protocole et à un savoir bien précis.
Le champ électromagnétique de la substance est contenu hermétiquement dans une petite fiole de verre, grâce à une technique et un matériel de pointe qui fait appel à la numérisation des caractéristiques de l’onde spécifique de la substance et à l’informatique.
https://www.naet-europe.com/fr/la-methode-naet/la-methode-naet/la-methode-naet
Il faut en moyenne une quinzaine de séances pour se désensibiliser totalement de ses allergènes. Les praticiens NAET témoignent de résultats qui les surprennent toujours malgré les années de pratique et la diversité de patients. Pour le bon déroulé de la thérapie et pour ne pas brouiller le message d’apaisement qui vient d’être donné au corps, il faut veiller à ne pas absorber l’allergène qui a été traité lors de la séance durant 24 heures.
n° 67 • mai 2014 • Principes de Santé